Voilà
Dans la vie, il faut faire des choix et plus le temps passe, plus les miens deviennent clairs et décisifs. Partir, c'est partir. Alors je pars, je pars vivre ma vie seule avec mon assurance, mes convictions, mes valeurs, mes principes et mes rêves, mes espoirs, mes nombreuses galères et leurs lourdes conséquences.
Je pensais avoir trouvé une certaine stabilité l'an dernier, bien au chaud au nid. Mais je veux avant tout vivre libre, chose impossible si je reste là. Alors je repars, je ne reviendrai pas. Je laisse énormément d'amis, mais les vrais viendront me voir dans quelques mois. Je suis mieux là-bas, loin de ces gens qui ne pensent qu'à se faire du mal et prennent pour excuses leur culture et leurs fausses valeurs. Je ne sais peut-être pas où j'irai exactement, mais je sais d'où je viens, raison qui me pousse d'autant plus à partir. Je couperais peut-être mon portable le soir pour ne pas qu'elle m'appelle, ça sera silence radio jusqu'à, minimum, cet été. Pour la simple et bonne raison que je ne les ai jamais aimé. On choisit ses amis, mais on choisit aussi à qui on parle, famille ou pas.
Pardonnez mon manque de bonnes nouvelles, et pardonnez moi si je ne reviens pas ici non plus.
Je repars vivre en couleurs.
Je pensais avoir trouvé une certaine stabilité l'an dernier, bien au chaud au nid. Mais je veux avant tout vivre libre, chose impossible si je reste là. Alors je repars, je ne reviendrai pas. Je laisse énormément d'amis, mais les vrais viendront me voir dans quelques mois. Je suis mieux là-bas, loin de ces gens qui ne pensent qu'à se faire du mal et prennent pour excuses leur culture et leurs fausses valeurs. Je ne sais peut-être pas où j'irai exactement, mais je sais d'où je viens, raison qui me pousse d'autant plus à partir. Je couperais peut-être mon portable le soir pour ne pas qu'elle m'appelle, ça sera silence radio jusqu'à, minimum, cet été. Pour la simple et bonne raison que je ne les ai jamais aimé. On choisit ses amis, mais on choisit aussi à qui on parle, famille ou pas.
Pardonnez mon manque de bonnes nouvelles, et pardonnez moi si je ne reviens pas ici non plus.
Je repars vivre en couleurs.
Mais maintenant, il y a partout des cybercafés ou des médiathèques avec accès internet... alors, même si certaines amitiés sont trop virtuelles, ne les lâche pas... Çà peut faire du bien d'écrire sur un blog, car tu ne choisis évidemment pas la facilité...