C'est le week-end, il est tard (pour moi) et je me décide enfin à écrire ici, après des mois de silence.
Vais-je bien? Ai-je vécu des jolies choses?
Qu'en est il de la petite Naftaline dans la tête (d'ampoule) d'Alice?
Vais-je bien? Ai-je vécu des jolies choses?
Qu'en est il de la petite Naftaline dans la tête (d'ampoule) d'Alice?
Je peux répondre, mais en ai-je vraiment envie? En Août, des larmes. Enormément. Septembre-Octobre, du doute. Enormément. Novembre.... seule. Enormément. Décembre?
Je peux vous dire que ces premiers mois sont intenses. Tous ces gens qui disent vivre au jour le jour ne savent pas de quoi ils parlent. Je suis là où le vent me mène. Je suis dans mon rêve, bien au froid et parfois à la peine. Et ça me rend heureuse. Je ne pleure plus depuis Septembre; je ris à la place. Je me débrouille, j'apprends à me débrouiller, à vivre et à faire moins confiance. J'écris, aussi. Je tiens un journal, ça me fait du bien et personne ne peut me lire, me juger, m'espionner comme on l'a fait durant des mois (années?) J'aime cette nouvelle vie, je crois que j'ai enfin compris: ne jamais rien prendre pour acquis.
Naftaline? Elle est toujours là. C'est un petit coquelicot qui pousse et ce, partout où on veut de lui.