Une rencontre inoubliable
Cela va faire un mois que naftaline les a vu; à chaque fois qu'elle va là-bas, elle se tourne à cet endroit précis, comme s'ils étaient là en train de l'attendre en fumant une cigarette. Il n'y a personne devant la porte, ils ne seront plus sous ce petit abri, sur ce banc où il s'est assit pour prendre un bain de soleil. Le 19Octobre 2008, naftaline a été voir les volo en concert; ils étaient dans sa ville, à cinq minutes de chez elle....
J'étais en retard, en retard sur l'avance que je m'étais donnée. Je devais rejoindre joca à et quart. Je marchais rapidement tête baissée, mp3 jouant du volo dans mes oreilles, comme toujours. Je n'en revenais pas, volo en concert ICI! pourquoi? Ce groupe représente énormément pour moi, cet été je crois que se sont eux qui m'ont fait "sortir la tête de l'eau": ils m'ont accompagné là où personne n'avait été en mesure de me suivre. Ce jour là, c'était à mon tour de leur dire quelque chose; un cri d'anonyme dans un public éphémère. J'atteinds le cinéma. J'arrive toujours par le côté, là où il y a la porte qui mène aux expositions à gauche de l'acceuil. Je vois une voiture se garer en face de la salle d'exposition, je souris. "et si c'était un des volo qui était là, comment réagirais-je?" il traverse devant moi, je regarde sa destination. Je le vois.
Ils sont plusieurs mais je ne vois que lui, il fume devant la porte du cinéma. Il me regarde, dans les yeux. Je me fige une seconde, je crois qu'il me sourit. J'ai chaud, trop chaud. Mes yeux se remplissent de larmes, j'ai l'impression de me retrouver dans un autre monde. un silence horrible, j'arrête mon mp3; je n'en ai plus besoin, les volo sont là et olivier me regarde. Je fuis, vite. je trace ma route, je me met un peu en retrait de l'acceuil, je les apperçois encore; pas de joca en vue, au secours, je manque d'oxygène. Le temps passe, je les vois. Ils bougent, où vont ils? vers moi, je baisse les yeux, les larmes montent. il passe à côté de moi, je le regarde, je souris. Il va sur la place, il s'assoit par terre tandis que les autres volo sont sur le banc. De l'aide, vite!
Il a fallut que j'appele une amie pour décompresser: pleurer et demandander conseil. aborder, parler, rigoler. Je n'ai pas pu. j'ai du attende l'arrivée de joca (à trente, vive la ponctualité!) pour avoir le courage de venir leur parler; il a prit la parole et tout s'est très bien passé. je leur ai serré la main; Olivier a cette habitude de regarder les gens dans les yeux, je baisse toujours les miens. Quelques mots pour expliquer comment je les ai connu.... quelques banalités et on leur donne rendez-vous sur scène, nous quelque part, tels des anonymes.
Ils arrivent en dernier, mon coeur s'emballe. Les premières notes, c'est cette chanson sur laquelle il m'a quitté. Je pleure, je crie, j'appele, je rappele. volo volo VOLO!
Naftaline aurait du écrire plus tôt dans ce blog, mais on ne lui en laisse pas vraiment le temps. Mais en fait, je crois que....
J'étais en retard, en retard sur l'avance que je m'étais donnée. Je devais rejoindre joca à et quart. Je marchais rapidement tête baissée, mp3 jouant du volo dans mes oreilles, comme toujours. Je n'en revenais pas, volo en concert ICI! pourquoi? Ce groupe représente énormément pour moi, cet été je crois que se sont eux qui m'ont fait "sortir la tête de l'eau": ils m'ont accompagné là où personne n'avait été en mesure de me suivre. Ce jour là, c'était à mon tour de leur dire quelque chose; un cri d'anonyme dans un public éphémère. J'atteinds le cinéma. J'arrive toujours par le côté, là où il y a la porte qui mène aux expositions à gauche de l'acceuil. Je vois une voiture se garer en face de la salle d'exposition, je souris. "et si c'était un des volo qui était là, comment réagirais-je?" il traverse devant moi, je regarde sa destination. Je le vois.
Ils sont plusieurs mais je ne vois que lui, il fume devant la porte du cinéma. Il me regarde, dans les yeux. Je me fige une seconde, je crois qu'il me sourit. J'ai chaud, trop chaud. Mes yeux se remplissent de larmes, j'ai l'impression de me retrouver dans un autre monde. un silence horrible, j'arrête mon mp3; je n'en ai plus besoin, les volo sont là et olivier me regarde. Je fuis, vite. je trace ma route, je me met un peu en retrait de l'acceuil, je les apperçois encore; pas de joca en vue, au secours, je manque d'oxygène. Le temps passe, je les vois. Ils bougent, où vont ils? vers moi, je baisse les yeux, les larmes montent. il passe à côté de moi, je le regarde, je souris. Il va sur la place, il s'assoit par terre tandis que les autres volo sont sur le banc. De l'aide, vite!
Il a fallut que j'appele une amie pour décompresser: pleurer et demandander conseil. aborder, parler, rigoler. Je n'ai pas pu. j'ai du attende l'arrivée de joca (à trente, vive la ponctualité!) pour avoir le courage de venir leur parler; il a prit la parole et tout s'est très bien passé. je leur ai serré la main; Olivier a cette habitude de regarder les gens dans les yeux, je baisse toujours les miens. Quelques mots pour expliquer comment je les ai connu.... quelques banalités et on leur donne rendez-vous sur scène, nous quelque part, tels des anonymes.
Ils arrivent en dernier, mon coeur s'emballe. Les premières notes, c'est cette chanson sur laquelle il m'a quitté. Je pleure, je crie, j'appele, je rappele. volo volo VOLO!
Naftaline aurait du écrire plus tôt dans ce blog, mais on ne lui en laisse pas vraiment le temps. Mais en fait, je crois que....
c'est elle, qui ne s'en laisse pas le temps....